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Les incompréhensions se succèdent après l'abattage de 780 taurillons à Rodez. Par principe de précaution, le gouvernement français en a décidé ainsi, au prétexte qu'ils ont mangé du foin en Algérie où le virus de la la fièvre aphteuse est présent. L'association Welfarm ne comprend pas pourquoi un tel périple pour un tel résultat. Le président de la chambre d'agriculture de l'Aveyron s'étonne qu'ils soient abattus dans un département d'élevage.
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