"On enferme pour enfermer au centre de rétention" : à Toulouse, la Cimade multiplie les recours en justice
Publié le 07/11/2020 à 08h46
Enfermer au centre de rétention administratif des étrangers sans papiers, sans expulsion possible du fait de la fermeture des frontières liée à la pandémie représente pour la Cimade, qui saisit la justice, une privation de liberté abusive